Sommaire

– Claude COQUELLE : Si c’était un organisme...
– Jean-Marie ROBINE : Implications sociales de la Gestalt-thérapie
– André LAMY : Trouble mental, trouble social, trouble
– Sophie DECOSTER : La Gestalt-thérapie, une proposition subversive d’hier à aujourd’hui
– Marie LEON : Gestalt-thérapie et projet social dans les années 80/90
– Patrick COLIN : Ici et maintenant
– Daniel DESCENDRE : Transgression et Interdit, Ethique et Histoire
– Charles COQUELIN : L’ombre de Goodman ?
– Laurence GATEAU : « Une place vide pour le hasard » : une Gestalt-thérapeute en libre accès dans l’espace café des restaurants du cœur
– Chantal MASQUELIER SAVATIER: Inflation Internet, Ajustements d’une Gestalt-thérapeute
– Amélie MUTARABAYRIE-SCHAFER : Du traumatisme de génocide à la violence de la réconciliation, Gestalt-thérapie et soutien psychologique des rescapés du génocide au Rwanda
– Astrid ALEMANY-DUSENDSCHÖN, Daniel CORTESI, Pierre SILVESTRE : Intervenant gestaltiste en entreprise : à la marge, dedans, dehors ? Une posture tenable ?
– Charles COQUELIN (Hors dossier) : De n’attendre rien à se nourrir de présence : anorexie et temporalité